Expérimentation de « formation-action autour de l’alimentation » en direction des acteurs des associations d’aide alimentaire du territoire n°5, en vue de réduire les inégalités sociales de santé
2014
Porteur de l'action : Maison de la Nutrition, du Diabète et du Risque Vasculaire (MNDRV), Association
24 Rue de la Donelière , 35000 Rennes
02 99 41 83 78
Thème
Nutrition (alimentation et activité physique), Précarité
Programmes
-
Programme 04 : Schéma Régional de Prévention - La santé des personnes en situation de précarité
- Objectif 02 : Favoriser la synergie entre les acteurs de la prévention, du soin hospitalier et du champ de la précarité
- Objectif 03 : Mieux cibler les publics et les territoires
-
Programme 08 : Programme Régional d'accès à la prévention et aux soins des personnes démunis
- Objectif 03 : Favoriser la synergie entre les acteurs de la prévention, du soin hospitalier et du champ de la précarité
- Objectif 04 : Mieux cibler les publics et les territoires
Autres programmes ou dispositifs
Contrat Local de Santé (CLS)
Contexte
*Besoins de la population ciblée
Les études portant sur les situations d’inégalités sociales et territoriales autour de la pauvreté, de l’isolement, de l’accès aux soins... montrent que la Bretagne est un territoire « à risque » et que cela a un impact sur les inégalités sociales de santé.
Selon le bilan du dispositif de formation et d’accompagnement des intervenants de l’aide alimentaire en Bretagne, de l’IREPS, la France comptait, en 2007, 8 millions de personnes pauvres, 2.8 millions d’entre elles ont bénéficié en 2008 d’une aide alimentaire distribuée par les associations concernées. En Bretagne, le taux de pauvreté a également augmenté passant de 10.8% des ménages à 11.2%.
La précarité est une dimension plus vaste que la pauvreté. Elle atteindrait presque 15% de la population française. Selon la définition donnée dans le rapport Belorgey, la précarité se définit comme «l’absence d’une ou plusieurs sécurités, notamment celle de l’emploi – ou la disposition d’un emploi ne procurant pas des ressources chroniquement suffisantes -, permettant aux personnes et aux familles d’assumer leurs obligations professionnelles, familiales ou sociales, et de jouir de leurs droits fondamentaux. »
Les personnes dites précaires sont, ainsi, désignées comme « à risque » sur le plan de la santé.
La population bénéficiant de l’aide alimentaire n’a pas le budget nécessaire pour se nourrir convenablement et éviter toute carence et anémie (Cf. La Santé de l’homme, dossier « populations précarisées : l’accessibilité de l’alimentation » paru en juillet-août 2009).
De plus, comme le montre le rapport du Centre National de l’Alimentation, les contraintes budgétaires orientent vers une alimentation riche en calories mais pauvre en nutriments essentiels.
D’après l’étude Abena : « Alimentation et état nutritionnel des bénéficiaires de l’aide alimentaire », il y aurait 28% d’obésité chez les hommes bénéficiant de l’aide alimentaire et 35% chez les femmes.
Le projet d’expérimentation de « formations-actions autour de l’alimentation » permettrait de les sensibiliser à d’autres comportements alimentaires plus satisfaisants du point de vue de leur santé et hygiène de vie tout en leur permettant de (re)trouver le plaisir de manger et de partager un repas.
Les échanges de savoir-faire et de savoir sont également promus pour apprendre à cuisiner d’avantage de produits en tenant compte des petits budgets, apprendre à réutiliser les restes et à cuisiner les « produits du placard ». Le but est de leur redonner le plaisir de manger, de créer de nouveaux liens sociaux entre eux et avec les bénévoles et les professionnels des structures d’accueil
Ces moments d’échange permettront ensuite d’aborder des questions liées à leur santé en général.
*Besoins des bénévoles de l’action sociale :
D’après le bilan de l’IREPS, les bénévoles des structures d’aide alimentaire rencontrent « des difficultés liées à l’accueil des personnes : augmentation du nombre de personnes accueillies, diversité des situations rencontrées, certaine forme de « passivité » du public,... »
Il est donc nécessaire pour eux « qu’ils comprennent mieux ce que sous-tend cette relation d’aide et la dimension relationnelle éducative et humaine nécessaire à une véritable aide à l’insertion et d’accès aux droits ».
Ce projet pourra permettre de leur apporter un soutien dans l’accompagnement des personnes en situation de précarité en leur apportant des connaissances et des outils pédagogiques et ludiques autour de la thématique alimentation.
Cela permet également de mettre en lien différents partenaires (du social, du sport, du sanitaire), d’avoir, pour chacun, une connaissance des différents dispositifs et de pouvoir adapter la relation d’aide en orientant les personnes vers les services complémentaires à leur action du point de vue de l’accès aux droits et aux soins.
Cette action s’inscrit dans les politiques publiques suivantes :
- Contrat local de santé de la Ville de Rennes
- Plan local de santé de Redon
- Programme National pour l’Alimentation (PNA) de la DRAAF
Les études portant sur les situations d’inégalités sociales et territoriales autour de la pauvreté, de l’isolement, de l’accès aux soins... montrent que la Bretagne est un territoire « à risque » et que cela a un impact sur les inégalités sociales de santé.
Selon le bilan du dispositif de formation et d’accompagnement des intervenants de l’aide alimentaire en Bretagne, de l’IREPS, la France comptait, en 2007, 8 millions de personnes pauvres, 2.8 millions d’entre elles ont bénéficié en 2008 d’une aide alimentaire distribuée par les associations concernées. En Bretagne, le taux de pauvreté a également augmenté passant de 10.8% des ménages à 11.2%.
La précarité est une dimension plus vaste que la pauvreté. Elle atteindrait presque 15% de la population française. Selon la définition donnée dans le rapport Belorgey, la précarité se définit comme «l’absence d’une ou plusieurs sécurités, notamment celle de l’emploi – ou la disposition d’un emploi ne procurant pas des ressources chroniquement suffisantes -, permettant aux personnes et aux familles d’assumer leurs obligations professionnelles, familiales ou sociales, et de jouir de leurs droits fondamentaux. »
Les personnes dites précaires sont, ainsi, désignées comme « à risque » sur le plan de la santé.
La population bénéficiant de l’aide alimentaire n’a pas le budget nécessaire pour se nourrir convenablement et éviter toute carence et anémie (Cf. La Santé de l’homme, dossier « populations précarisées : l’accessibilité de l’alimentation » paru en juillet-août 2009).
De plus, comme le montre le rapport du Centre National de l’Alimentation, les contraintes budgétaires orientent vers une alimentation riche en calories mais pauvre en nutriments essentiels.
D’après l’étude Abena : « Alimentation et état nutritionnel des bénéficiaires de l’aide alimentaire », il y aurait 28% d’obésité chez les hommes bénéficiant de l’aide alimentaire et 35% chez les femmes.
Le projet d’expérimentation de « formations-actions autour de l’alimentation » permettrait de les sensibiliser à d’autres comportements alimentaires plus satisfaisants du point de vue de leur santé et hygiène de vie tout en leur permettant de (re)trouver le plaisir de manger et de partager un repas.
Les échanges de savoir-faire et de savoir sont également promus pour apprendre à cuisiner d’avantage de produits en tenant compte des petits budgets, apprendre à réutiliser les restes et à cuisiner les « produits du placard ». Le but est de leur redonner le plaisir de manger, de créer de nouveaux liens sociaux entre eux et avec les bénévoles et les professionnels des structures d’accueil
Ces moments d’échange permettront ensuite d’aborder des questions liées à leur santé en général.
*Besoins des bénévoles de l’action sociale :
D’après le bilan de l’IREPS, les bénévoles des structures d’aide alimentaire rencontrent « des difficultés liées à l’accueil des personnes : augmentation du nombre de personnes accueillies, diversité des situations rencontrées, certaine forme de « passivité » du public,... »
Il est donc nécessaire pour eux « qu’ils comprennent mieux ce que sous-tend cette relation d’aide et la dimension relationnelle éducative et humaine nécessaire à une véritable aide à l’insertion et d’accès aux droits ».
Ce projet pourra permettre de leur apporter un soutien dans l’accompagnement des personnes en situation de précarité en leur apportant des connaissances et des outils pédagogiques et ludiques autour de la thématique alimentation.
Cela permet également de mettre en lien différents partenaires (du social, du sport, du sanitaire), d’avoir, pour chacun, une connaissance des différents dispositifs et de pouvoir adapter la relation d’aide en orientant les personnes vers les services complémentaires à leur action du point de vue de l’accès aux droits et aux soins.
Cette action s’inscrit dans les politiques publiques suivantes :
- Contrat local de santé de la Ville de Rennes
- Plan local de santé de Redon
- Programme National pour l’Alimentation (PNA) de la DRAAF
Objectif de l'action
*Objectif général
- Faciliter l’accès à la prévention, aux soins et aux droits chez les personnes en situation de précarité par l’intermédiaire d’une action basée sur l’éducation nutritionnelle
*Objectifs spécifiques
- Développer les compétences des acteurs des associations d’aide alimentaire du territoire n°5 en vue de réduire les inégalités sociales de santé
- Développer le partenariat et la connaissance des structures ressources
- Accompagner les bénévoles dans la mise en place d’ateliers nutritionnels abordant le bien-être et la qualité de vie au quotidien (sommeil, repas, activité physique...) puis progressivement les questions de santé de la personne et/ou de la famille afin d’être dans une démarche globale de santé, d’accès aux droits et aux soins
- Faciliter l’accès à la prévention, aux soins et aux droits chez les personnes en situation de précarité par l’intermédiaire d’une action basée sur l’éducation nutritionnelle
*Objectifs spécifiques
- Développer les compétences des acteurs des associations d’aide alimentaire du territoire n°5 en vue de réduire les inégalités sociales de santé
- Développer le partenariat et la connaissance des structures ressources
- Accompagner les bénévoles dans la mise en place d’ateliers nutritionnels abordant le bien-être et la qualité de vie au quotidien (sommeil, repas, activité physique...) puis progressivement les questions de santé de la personne et/ou de la famille afin d’être dans une démarche globale de santé, d’accès aux droits et aux soins
Description
*Création d’un comité de pilotage réunissant différents partenaires
- Mission : valider les objectifs du projet, accompagner sa mise en œuvre (choix des sites, contacts avec les associations d’aide alimentaire) et participer au « décloisonnement du parcours de santé entre l’accompagnement social et le sanitaire ».
- Composition possible du comité de pilotage : diététiciennes libérales, professionnels de la Ville de Rennes, de la DRAAF, du DT35 de l’ARS, des CCAS/CDAS et structures d’insertion sociale des villes concernées par l’action, des éducateurs sportifs d’activité physique adaptée, des professionnels et/ou bénévoles d’associations d’aide alimentaire, professionnels du Réseau Diabète : chargée de mission, infirmière et des professionnels du secteur sanitaire : CPAM, CARSAT par exemple).
*Rédaction du protocole d’évaluation et création des outils d’évaluation avec le comité de pilotage
*Mise en œuvre opérationnelle du projet
Action en 3 temps, avec un intervalle de 1 à 2 mois maximum entre chaque séance :
- Sensibilisation-convivialité : une intervention par semaine pendant un mois, pendant la distribution alimentaire. Mise en pratique avec une diététicienne qui prépare sur place et propose des dégustations de recettes très simples, à partir des aliments disponibles (cuisine mobile de la banque alimentaire nécessaire).
- Réalisation de « formations-actions » dans 3 associations du réseau de l’aide alimentaire (2 à Rennes, 1 à Fougères ou à Redon) et invitation de différents acteurs sur ces temps pour présenter leur activité au public cible.
. Durée : 3 demi-journées (successives ou non selon le choix des participants).
. Animation par une diététicienne de la MNDRV.
. Objectifs de la formation : valoriser et dynamiser l’action des bénévoles et des professionnels des associations, travailler sur la réduction des déchets alimentaires (non-distribués et/ou non consommés ensuite par les bénéficiaires), envisager des actions permettant d’aborder les questions de santé (comme une activité physique adaptée), former à repérer les questions de santé des bénéficiaires et les ressources à leur disposition (dispositifs de droit commun notamment).
- Evaluation des trois expérimentations portant sur le processus de mise en œuvre ainsi que sur les résultats obtenus (au regard des objectifs spécifiques fixés).
*Expérimentation du projet sur trois années de 2014 à 2017 :
- 2014 : expérimentation dans trois structures (2 à Rennes, 1 à Fougères ou à Redon),
- 2015 : suivi des quatre premières expérimentations (accompagnement méthodologique, soutien sur la mise en œuvre d’actions autour de l’alimentation + expérimentation dans deux autres structures hors de Rennes Métropole (milieu rural de préférence),
- 2016 : suivi des deux expérimentations de l’année précédente + poursuite de l’expérimentation dans deux à quatre autres structures (milieu rural et/ou urbain)
- Mission : valider les objectifs du projet, accompagner sa mise en œuvre (choix des sites, contacts avec les associations d’aide alimentaire) et participer au « décloisonnement du parcours de santé entre l’accompagnement social et le sanitaire ».
- Composition possible du comité de pilotage : diététiciennes libérales, professionnels de la Ville de Rennes, de la DRAAF, du DT35 de l’ARS, des CCAS/CDAS et structures d’insertion sociale des villes concernées par l’action, des éducateurs sportifs d’activité physique adaptée, des professionnels et/ou bénévoles d’associations d’aide alimentaire, professionnels du Réseau Diabète : chargée de mission, infirmière et des professionnels du secteur sanitaire : CPAM, CARSAT par exemple).
*Rédaction du protocole d’évaluation et création des outils d’évaluation avec le comité de pilotage
*Mise en œuvre opérationnelle du projet
Action en 3 temps, avec un intervalle de 1 à 2 mois maximum entre chaque séance :
- Sensibilisation-convivialité : une intervention par semaine pendant un mois, pendant la distribution alimentaire. Mise en pratique avec une diététicienne qui prépare sur place et propose des dégustations de recettes très simples, à partir des aliments disponibles (cuisine mobile de la banque alimentaire nécessaire).
- Réalisation de « formations-actions » dans 3 associations du réseau de l’aide alimentaire (2 à Rennes, 1 à Fougères ou à Redon) et invitation de différents acteurs sur ces temps pour présenter leur activité au public cible.
. Durée : 3 demi-journées (successives ou non selon le choix des participants).
. Animation par une diététicienne de la MNDRV.
. Objectifs de la formation : valoriser et dynamiser l’action des bénévoles et des professionnels des associations, travailler sur la réduction des déchets alimentaires (non-distribués et/ou non consommés ensuite par les bénéficiaires), envisager des actions permettant d’aborder les questions de santé (comme une activité physique adaptée), former à repérer les questions de santé des bénéficiaires et les ressources à leur disposition (dispositifs de droit commun notamment).
- Evaluation des trois expérimentations portant sur le processus de mise en œuvre ainsi que sur les résultats obtenus (au regard des objectifs spécifiques fixés).
*Expérimentation du projet sur trois années de 2014 à 2017 :
- 2014 : expérimentation dans trois structures (2 à Rennes, 1 à Fougères ou à Redon),
- 2015 : suivi des quatre premières expérimentations (accompagnement méthodologique, soutien sur la mise en œuvre d’actions autour de l’alimentation + expérimentation dans deux autres structures hors de Rennes Métropole (milieu rural de préférence),
- 2016 : suivi des deux expérimentations de l’année précédente + poursuite de l’expérimentation dans deux à quatre autres structures (milieu rural et/ou urbain)
Partenaire de l'action
Structures associatives d'aides alimentaires
Instance Régionale d'Education et de Promotion de la Santé (IREPS)
Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (DRAAF)
Ville de Rennes
Diététiciennes libérales, éducateurs sportifs
Instance Régionale d'Education et de Promotion de la Santé (IREPS)
Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (DRAAF)
Ville de Rennes
Diététiciennes libérales, éducateurs sportifs
Année de début de réalisation
2014
Année de fin de réalisation
2016
Durée
3 ans sous réserve du financement chaque année
Fréquence
Suivie
Public
Adultes 18-55 ans, Personnes en difficulté socio-économique, Autre
Nombre de personnes concernées
120 personnes en situation de précarité, 12 bénévoles (valeur cible), Action non achevée, en cours de développement
Type d'action
Communication, information, sensibilisation, Formation, Coordination locale
Financeur
- ARS : 5 000 € €
- Collectivités territoriales
- - Communes et intercommunalités : 3 000 € (Ville de Rennes) €
Evaluation de l'action
*Indicateurs quantitatifs
- Nombre de bénéficiaires de l’action : 120 personnes en situation de précarité, 12 bénévoles (valeur cible)
- Evolution de l'amélioration des compétences des bénévoles : 70% (valeur cible)
- Nombre de rencontres entre partenaires et diversité des partenaires :
- Nombre d'animations vers le public ciblé et liant les partenaires : 2 animations liant les partenaires par site (valeur cible)
- Suivi des animations d'ateliers pratiques autour de la santé : 1 animation par trimestre et par site (valeur cible)
*Indicateurs qualitatifs
- Public cible touché :
- Nombre de bénéficiaires de l’action : 120 personnes en situation de précarité, 12 bénévoles (valeur cible)
- Evolution de l'amélioration des compétences des bénévoles : 70% (valeur cible)
- Nombre de rencontres entre partenaires et diversité des partenaires :
- Nombre d'animations vers le public ciblé et liant les partenaires : 2 animations liant les partenaires par site (valeur cible)
- Suivi des animations d'ateliers pratiques autour de la santé : 1 animation par trimestre et par site (valeur cible)
*Indicateurs qualitatifs
- Public cible touché :
Secteur d'activité
Local associatif
Lieu d'intervention
Associations d'aides alimentaires
Niveau géographique
Territorial
Commune
Fougères, Redon, Rennes
Niveau territorial de santé
Rennes / Fougères / Vitré / Redon
Action(s) lolf
PSSOS 12. Accès à la santé et éducation à la santé, PSSOS 12.2 Santé des populations en difficulté
Catégorisation
A1
Développement d'offres de promotion de la santé
Développement d'offres de promotion de la santé
A2
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
A3
Mobilisation sociale
Mobilisation sociale
A4
Développement de compétences personnelles
Développement de compétences personnelles
B1
Offres en matière de promotion de la santé
Offres en matière de promotion de la santé
B2
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
B3
Potentiel social et engagement favorables à la santé
Potentiel social et engagement favorables à la santé
B4
Compétences individuelles favorables à la santé
Compétences individuelles favorables à la santé
C1
Environnement physique favorable à la santé
Environnement physique favorable à la santé
C2
Environnement social favorable à la santé
Environnement social favorable à la santé
C3
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
D
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)