CLS : Campagne d'information, de dépistage et de remédiation du radon
2017
Action chaînée avec : CLS : Campagne d'information, de dépistage et de remédiation du radon - 2016
Porteur de l'action : Ville de Nantes - mission santé publique, Collectivité territoriale - commune ou intercommunalité
2 rue de l’Hôtel de ville , Nantes
02 40 41 90 00
Thème
Environnement, Contrat Local de Santé
Programmes
-
Programme PRSE 3 : Plan Régional Santé Environnement
Contexte
Des actions de santé publique ont été conduites depuis 2007 auprès des habitants de quartiers situés à l’Ouest (Bellevue/Chantenay/Sainte-Anne et Dervallières-Zola) par la Ville de Nantes, pour les sensibiliser au risque lié à l'accumulation du radon dans l'habitat et plus généralement aux pollutions de l'air intérieur. Ces 2 grands quartiers ont été intégralement couverts en 2016/2017, ainsi que les premiers micro-quartiers de Breil-Barberie. Plus de 1 000 mesures ont été réalisées à ce jour, pour environ 900 habitations. Jusqu’à la campagne précédente (2015/2016), près de 29 % des mesures ont révélé des taux supérieurs à 300 Bq/m³ (dont 3 % au-dessus de 1 000 Bq/m³). Ces campagnes ont donc également permis de recueillir des données sur les taux en radon dans l’habitat sur ces secteurs. L’ARS Pays de la Loire participe chaque année au lancement des campagnes, en intervenant lors de la première réunion publique (en novembre), aux côtés de l’ASN. Le CEREMA intervient lors de la réunion de restitution des résultats (en avril/mai), pour présenter les techniques de remédiation, dans une démarche de « pas à pas ». Des diagnostics gratuits, par le secteur Hygiène de Nantes Métropole et le CEREMA, sont proposés systématiquement aux habitations ayant les taux les plus élevés (une douzaine chaque année), avec remise d’un rapport.
Action réservée au territoire nantais, un rapprochement a été opéré en 2013/2014 avec la Direction de l'Habitat de Nantes Métropole, afin de l'intégrer au Programme d'Intérêt Général (PIG) "Habiter Mieux" dont SOLIHA est l'opérateur. L'action consiste à faire poser un dosimètre par le technicien qui réalise le diagnostic thermique dans les habitations concernées, pose accompagnée d'une information (plaquette ville et mode d'emploi). Un process avait été établi en amont pour préciser les étapes. Ce projet est en cohérence avec le zonage (2013) de l'IRSN, à l'échelle communale, qui classe 16 communes de Nantes Métropole en potentiel moyen ou élevé de risque radon sur les 24. Des mesures ont ainsi été réalisées en 2014/2015 (12, dont 2 au-dessus du seuil de 300 Bq/m³) et en 2015/2016 (31, dont 2 au-dessus du seuil), sur une dizaine de communes de la Métropole. Des remédiations sont proposées pour ces habitations, avec des aides financières afférentes. Une réunion bilan de l'action avec SOLIHA a eu lieu en mai 2016, afin de stabiliser le chiffre définitif de mesures réalisées en 2015/2016, et d’appliquer le process en cas de dépassement de seuil sur les 2 habitations ayant présenté un dépassement de seuil en 2014/2015 et les 2 de la campagne de 2015/2016.
Cette action répond :
- Au Plan national d'action 2016-2019 pour la gestion du risque lié au radon (Axe 1 "Mettre en place une stratégie globale d’information et de sensibilisation et développer les outils pour la collecte et le partage de l’information").
- au PNSE3 (Action n°5 « Promouvoir et accompagner des actions territoriales de gestion intégrée du risque lié au radon dans l’habitat »).
- Au PRSE3 2016-2021 (objectif « phare » : « Améliorer la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments, en intégrant l’enjeu lié au radon », de l’axe 2 « Bâtiments, habitat et santé »).
- Au Plan Local d'Actions en Santé Environnementale (PLASE) de la Ville de Nantes (Actions n°4 "Sensibiliser les nantais à la qualité de l'air intérieur" et n°5 "Développer des actions améliorant la qualité de l'air dans les bâtiments accueillant des enfants").
Action réservée au territoire nantais, un rapprochement a été opéré en 2013/2014 avec la Direction de l'Habitat de Nantes Métropole, afin de l'intégrer au Programme d'Intérêt Général (PIG) "Habiter Mieux" dont SOLIHA est l'opérateur. L'action consiste à faire poser un dosimètre par le technicien qui réalise le diagnostic thermique dans les habitations concernées, pose accompagnée d'une information (plaquette ville et mode d'emploi). Un process avait été établi en amont pour préciser les étapes. Ce projet est en cohérence avec le zonage (2013) de l'IRSN, à l'échelle communale, qui classe 16 communes de Nantes Métropole en potentiel moyen ou élevé de risque radon sur les 24. Des mesures ont ainsi été réalisées en 2014/2015 (12, dont 2 au-dessus du seuil de 300 Bq/m³) et en 2015/2016 (31, dont 2 au-dessus du seuil), sur une dizaine de communes de la Métropole. Des remédiations sont proposées pour ces habitations, avec des aides financières afférentes. Une réunion bilan de l'action avec SOLIHA a eu lieu en mai 2016, afin de stabiliser le chiffre définitif de mesures réalisées en 2015/2016, et d’appliquer le process en cas de dépassement de seuil sur les 2 habitations ayant présenté un dépassement de seuil en 2014/2015 et les 2 de la campagne de 2015/2016.
Cette action répond :
- Au Plan national d'action 2016-2019 pour la gestion du risque lié au radon (Axe 1 "Mettre en place une stratégie globale d’information et de sensibilisation et développer les outils pour la collecte et le partage de l’information").
- au PNSE3 (Action n°5 « Promouvoir et accompagner des actions territoriales de gestion intégrée du risque lié au radon dans l’habitat »).
- Au PRSE3 2016-2021 (objectif « phare » : « Améliorer la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments, en intégrant l’enjeu lié au radon », de l’axe 2 « Bâtiments, habitat et santé »).
- Au Plan Local d'Actions en Santé Environnementale (PLASE) de la Ville de Nantes (Actions n°4 "Sensibiliser les nantais à la qualité de l'air intérieur" et n°5 "Développer des actions améliorant la qualité de l'air dans les bâtiments accueillant des enfants").
Objectif de l'action
Objectif général de l'action :
- Sensibiliser la population d'un territoire au risque radon.
Objectifs opérationnels :
- Obtenir une approche de mesures de la concentration en radon dans l'habitat sur l’Ouest de Nantes et à l'échelle de Nantes Métropole.
- Sensibiliser plus largement le public sur la qualité de l'air intérieur (QAI).
- Accompagner les habitants pour obtenir une baisse du radon dans leur habitation, le cas échéant.
- Sensibiliser la population d'un territoire au risque radon.
Objectifs opérationnels :
- Obtenir une approche de mesures de la concentration en radon dans l'habitat sur l’Ouest de Nantes et à l'échelle de Nantes Métropole.
- Sensibiliser plus largement le public sur la qualité de l'air intérieur (QAI).
- Accompagner les habitants pour obtenir une baisse du radon dans leur habitation, le cas échéant.
Description
Il s'agit pour 2017 :
Pour la campagne sur l’Ouest nantais :
- d'analyser les dosimètres et informer les habitants : campagne nantaise 2016/2017 en cours d’analyse : 78 dosimètres distribués, et campagne par SOLIHA dont les résultats seront disponibles à compter de mai 2017.
- Continuer l'action durant l'hiver 2017/2018 (à partir d'octobre), avec de nouvelles mesures, les zones étant à identifier.
- Proposer des méthodes de remédiation pour les habitations présentant des taux au-dessus du seuil, et des diagnostics gratuits par le secteur Hygiène de Nantes Métropole et le CEREMA pour les taux les plus élevés (remise d’un rapport).
Pour la campagne métropolitaine :
- d'analyser les dosimètres et informer les habitants : les résultats seront disponibles à compter de mai 2017.
- mobiliser SOLIHA, le Secteur Hygiène de Nantes Métropole et le CEREMA Ouest pour les habitations présentant des taux supérieurs aux seuils (si supérieur à 1 000 Bq/m³ : diagnostic systématique) pour la campagne métropolitaine.
- Procéder à une évaluation commune des mesures et des réponses apportées en termes d'information et de travaux (sont les aides financières dans le cadre du PIG). Adapter le process s'il y a lieu.
À noter que la Ville de Nantes réalise systématiquement des mesures sur les zones visées par ses campagnes dans les ERP accueillant des enfants (multi-accueils et écoles), et propose des dosimètres gratuits pour les établissements privés et du secondaire.
Pour la campagne sur l’Ouest nantais :
- d'analyser les dosimètres et informer les habitants : campagne nantaise 2016/2017 en cours d’analyse : 78 dosimètres distribués, et campagne par SOLIHA dont les résultats seront disponibles à compter de mai 2017.
- Continuer l'action durant l'hiver 2017/2018 (à partir d'octobre), avec de nouvelles mesures, les zones étant à identifier.
- Proposer des méthodes de remédiation pour les habitations présentant des taux au-dessus du seuil, et des diagnostics gratuits par le secteur Hygiène de Nantes Métropole et le CEREMA pour les taux les plus élevés (remise d’un rapport).
Pour la campagne métropolitaine :
- d'analyser les dosimètres et informer les habitants : les résultats seront disponibles à compter de mai 2017.
- mobiliser SOLIHA, le Secteur Hygiène de Nantes Métropole et le CEREMA Ouest pour les habitations présentant des taux supérieurs aux seuils (si supérieur à 1 000 Bq/m³ : diagnostic systématique) pour la campagne métropolitaine.
- Procéder à une évaluation commune des mesures et des réponses apportées en termes d'information et de travaux (sont les aides financières dans le cadre du PIG). Adapter le process s'il y a lieu.
À noter que la Ville de Nantes réalise systématiquement des mesures sur les zones visées par ses campagnes dans les ERP accueillant des enfants (multi-accueils et écoles), et propose des dosimètres gratuits pour les établissements privés et du secondaire.
Année de début de réalisation
2017
Année de fin de réalisation
2017
Durée
12 mois
Fréquence
Ponctuelle
Public
Tout public
Nombre de personnes concernées
Campagne nantaise : 69 mesures effectives ; campagne métropolitaine : 11 mesures effectives
Type d'action
Communication, information, sensibilisation, Action de santé communautaire
Financeur
- ARS : 1 000 € €
- Collectivités territoriales : Ville de Nantes : 4 440 € €
Evaluation de l'action
POINTS FORTS :
# Campagne nantaise :
- Campagne récurrente, qui a permis 1 060 analyses (taux de retour : environ 90 %), et qui est maintenant bien identifiée sur la zone concernée (de plus en plus de demandes de mesures spontanées sur les quartiers déjà explorés lors de campagnes précédentes).
- Partenariat secteur Hygiène/CEREMA parfaitement opérationnel.
- Permet d’aborder la thématique plus globale de la qualité de l’air intérieur.
# Campagne métropolitaine :
- Extension de l'action nantaise sur la Métropole.
- Partenariat avec SOLIHA, avec formation théorique préalable des techniciens par le CEREMA et un Inspecteur de salubrité de la ville.
- Mobilisation d'aides financières pour les remédiations.
- Permet de toucher des populations qui n’intégreraient pas les actions de la Santé publique ou associatives.
- Implication effective du secteur Hygiène et du CEREMA pour un diagnostic écrit et adressé à SOLIHA et au propriétaire occupant.
POINTS FAIBLES / POINTS A AMELIORER :
# Campagne nantaise :
- Peu d’habitants (la moitié) ont demandé à faire réaliser un diagnostic gratuit de leur habitation, malgré la relance du secteur Hygiène.
# Campagne métropolitaine :
- Meilleure implication des diagnostiqueurs dans la proposition des dosimètres.
- Systématiser les mesures de vérification après travaux (mais la décision finale incombe à l’occupant).
BILAN :
# Campagne nantaise :
La campagne 2016/2017 a finalisé la couverture des 2 grands quartiers “Bellevue Chantenay Sainte-Anne” ainsi que “Dervallières Zola”. Un nouveau quartier, “Breil Malville”, a commencé à être exploré.
Cette action est de plus en plus connue des habitants, comme cela a pu être constaté par de nombreuses mesures sur les zones des campagnes des années précédentes. À noter d’ailleurs que la Santé publique reçoit régulièrement des appels tout au long de l’année d’habitants pour avoir des informations sur le radon et l’action de la ville.
Les taux retrouvés cette année continuent à montrer une proportion importante de mesures supérieures au seuil de 300 Bq/m³ (32%).
Les diagnostics, réalisés gratuitement par le secteur Hygiène de Nantes Métropole et le CEREMA (avec rapport rédigé par l’Hygiène), continuent également à être proposés aux habitants présentant les taux les plus élevés (soit 9 cette année). Cependant, seuls cinq habitants ont donné suite (dont quatre suite à la campagne de la ville), malgré la relance téléphonique de l’Hygiène.
Une évaluation par questionnaire a été réalisée en avril 2017 pour les habitants ayant participé aux campagnes de 2014 et 2015 et dont les taux étaient supérieurs au seuil de 300 Bq/m³. Le taux de retour est d’environ 45 %. Leur analyse sera réalisée au 1er trimestre 2018.
Des questionnaires relatifs aux comportements et à l’habitation sont donnés avec les dosimètres depuis la campagne de 2015 (64 retours cette année). Leur analyse est prévue également en 2018.
# Campagne métropolitaine :
La poursuite de l’action pour la troisième année montre une véritable collaboration avec l'opérateur du Programme d'intérêt général “Habiter Mieux”, SOLIHA.
La baisse du nombre de mesures par rapport à l’année précédente est due en grande partie au recrutement de diagnostiqueurs extérieurs, moins sensibilisés à la question du radon. SOLIHA relancera ces agents sur la nécessité de proposer et d’accompagner les mesures du radon.
Pour la première fois, une mesure supérieure à 1 000 Bq/m 3 a été relevée. Le rapport rédigé par le secteur Hygiène de Nantes Métropole (suite à une visite avec le CEREMA) a permis d’établir des recommandations qui seront reprises dans les travaux. Il s’agira de vérifier par une nouvelle mesure l’efficacité des travaux. Cette vérification doit être étendue aux autres habitations ayant montré des taux supérieurs au seuil.
On remarque également que chaque année des mesures supérieures au seuil de 300 Bq/m 3 ont été trouvées (sur Nantes, La Montagne et Rezé).
Un bilan avec SOLIHA est prévu en 2018 à l’issue des résultats des mesures de 2017/2018.
# Campagne nantaise :
- Campagne récurrente, qui a permis 1 060 analyses (taux de retour : environ 90 %), et qui est maintenant bien identifiée sur la zone concernée (de plus en plus de demandes de mesures spontanées sur les quartiers déjà explorés lors de campagnes précédentes).
- Partenariat secteur Hygiène/CEREMA parfaitement opérationnel.
- Permet d’aborder la thématique plus globale de la qualité de l’air intérieur.
# Campagne métropolitaine :
- Extension de l'action nantaise sur la Métropole.
- Partenariat avec SOLIHA, avec formation théorique préalable des techniciens par le CEREMA et un Inspecteur de salubrité de la ville.
- Mobilisation d'aides financières pour les remédiations.
- Permet de toucher des populations qui n’intégreraient pas les actions de la Santé publique ou associatives.
- Implication effective du secteur Hygiène et du CEREMA pour un diagnostic écrit et adressé à SOLIHA et au propriétaire occupant.
POINTS FAIBLES / POINTS A AMELIORER :
# Campagne nantaise :
- Peu d’habitants (la moitié) ont demandé à faire réaliser un diagnostic gratuit de leur habitation, malgré la relance du secteur Hygiène.
# Campagne métropolitaine :
- Meilleure implication des diagnostiqueurs dans la proposition des dosimètres.
- Systématiser les mesures de vérification après travaux (mais la décision finale incombe à l’occupant).
BILAN :
# Campagne nantaise :
La campagne 2016/2017 a finalisé la couverture des 2 grands quartiers “Bellevue Chantenay Sainte-Anne” ainsi que “Dervallières Zola”. Un nouveau quartier, “Breil Malville”, a commencé à être exploré.
Cette action est de plus en plus connue des habitants, comme cela a pu être constaté par de nombreuses mesures sur les zones des campagnes des années précédentes. À noter d’ailleurs que la Santé publique reçoit régulièrement des appels tout au long de l’année d’habitants pour avoir des informations sur le radon et l’action de la ville.
Les taux retrouvés cette année continuent à montrer une proportion importante de mesures supérieures au seuil de 300 Bq/m³ (32%).
Les diagnostics, réalisés gratuitement par le secteur Hygiène de Nantes Métropole et le CEREMA (avec rapport rédigé par l’Hygiène), continuent également à être proposés aux habitants présentant les taux les plus élevés (soit 9 cette année). Cependant, seuls cinq habitants ont donné suite (dont quatre suite à la campagne de la ville), malgré la relance téléphonique de l’Hygiène.
Une évaluation par questionnaire a été réalisée en avril 2017 pour les habitants ayant participé aux campagnes de 2014 et 2015 et dont les taux étaient supérieurs au seuil de 300 Bq/m³. Le taux de retour est d’environ 45 %. Leur analyse sera réalisée au 1er trimestre 2018.
Des questionnaires relatifs aux comportements et à l’habitation sont donnés avec les dosimètres depuis la campagne de 2015 (64 retours cette année). Leur analyse est prévue également en 2018.
# Campagne métropolitaine :
La poursuite de l’action pour la troisième année montre une véritable collaboration avec l'opérateur du Programme d'intérêt général “Habiter Mieux”, SOLIHA.
La baisse du nombre de mesures par rapport à l’année précédente est due en grande partie au recrutement de diagnostiqueurs extérieurs, moins sensibilisés à la question du radon. SOLIHA relancera ces agents sur la nécessité de proposer et d’accompagner les mesures du radon.
Pour la première fois, une mesure supérieure à 1 000 Bq/m 3 a été relevée. Le rapport rédigé par le secteur Hygiène de Nantes Métropole (suite à une visite avec le CEREMA) a permis d’établir des recommandations qui seront reprises dans les travaux. Il s’agira de vérifier par une nouvelle mesure l’efficacité des travaux. Cette vérification doit être étendue aux autres habitations ayant montré des taux supérieurs au seuil.
On remarque également que chaque année des mesures supérieures au seuil de 300 Bq/m 3 ont été trouvées (sur Nantes, La Montagne et Rezé).
Un bilan avec SOLIHA est prévu en 2018 à l’issue des résultats des mesures de 2017/2018.
Secteur d'activité
Autre
Niveau géographique
Communal
Commune
Nantes
Catégorisation
A1
Développement d'offres de promotion de la santé
Développement d'offres de promotion de la santé
A2
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
A3
Mobilisation sociale
Mobilisation sociale
A4
Développement de compétences personnelles
Développement de compétences personnelles
B1
Offres en matière de promotion de la santé
Offres en matière de promotion de la santé
B2
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
B3
Potentiel social et engagement favorables à la santé
Potentiel social et engagement favorables à la santé
B4
Compétences individuelles favorables à la santé
Compétences individuelles favorables à la santé
C1
Environnement physique favorable à la santé
Environnement physique favorable à la santé
C2
Environnement social favorable à la santé
Environnement social favorable à la santé
C3
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
D
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)