Savoir Seniors Santé - 1. Comprendre les fondamentaux de l’équilibre nutritionnel des seniors pour mieux les accompagner
Provence-Alpes-Côte d'Azur
2011
Action chaînée avec : Savoir Seniors Santé - 1. Comprendre les fondamentaux de l’équilibre nutritionnel des seniors pour mieux les accompagner - 2010
Porteur de l'action : Caisse d'Assurance Retraite et de la Santé Au Travail du Sud-Est (CARSAT-Sud Est), Assurance Maladie
35 rue George Cedex 20, Marseille
08 21 10 13 13
Thème
Nutrition (alimentation et activité physique), Vieillissement
Programmes
-
Programme 18 : Vieillissement
- Objectif : Vieillissement, nutrition, activité physique
Contexte
Devenir vieux est aujourd’hui un fait banal. Au début du siècle, quatre français sur dix atteignaient 65 ans ; c’est aujourd’hui le cas de quatre français sur cinq. Atteindre la vieillesse n’est donc plus un privilège.
La tranche d’âge des plus âgés augmente le plus vite. Les projections de population à l’horizon 2050 confirment en effet l’inéluctabilité du vieillissement de la population française puisque, à cette date, la France métropolitaine devrait compter trois fois plus de personnes âgées de plus de 75 ans et quatre fois plus de personnes de plus 85 ans.
En 2009, l’espérance de vie à la naissance en France reste l’une des plus élevée d’Europe (84,5 ans pour les femmes et 77,8 ans pour les hommes).
En dix ans les hommes ont gagné 3 ans et les femmes 2 ans, surtout grâce à l’allongement de la durée de vie et l’arrivée à l’âge de la retraite des « baby boomers » ayant succédé à la dernière guerre (1946-1950).
Ce paramètre constitue l’élément majeur des évolutions prévisibles de la morbidité.
La population des pays occidentaux est donc en train de vieillir. Or le rythme du vieillissement depuis deux siècles s’est ralenti, d’abord en Europe occidentale, puis dans le reste du monde quand l’amélioration de l’hygiène, de la médecine et de la nutrition ont atteint les autres continents. Par ailleurs, dans les pays occidentaux et en particulier en France, la baisse de la fécondité est à l’origine de la faible proportion de jeunes.
Les enjeux du vieillissement représentent donc un véritable défi. L’allongement de la durée de vie a profondément modifié les relations entre gens âgés et la société, celle-ci ayant anticipé très tard les conséquences à venir de ce phénomène. Dans notre société ou l’individualisme règne, les personnes âgées sont quasi marginalisées, victimes d’un racisme anti-vieux. Mais cette tranche de population nécessite et mobilise de plus en plus de professionnels pour des soins techniques et relationnels qui font appel à des compétences professionnelles en évolution nécessitant des formations adaptées.
Les personnes du troisième âge rencontrent des problèmes de santé liés à la sédentarité, l’isolement et au manque d’activité physique. Elles souffrent également d’une alimentation déséquilibrée voire insuffisante. Souvent on se nourrit de plus en plus mal avec l’âge. Chez certains le plaisir de manger s’émousse et l’inquiétude latente conduit à des régimes aberrants ou des évitements. Or il faut biens se nourrir pour éviter les carences qui sont aussi dangereuses que les excès caloriques. Il est donc clair que cette population âgée nécessite un accompagnement surtout quand elle se retrouve seule à son domicile.
Les relations indissociables entre nutrition, processus du vieillissement et pathologies du sujet âgé incitent en conséquence à envisager la prévention par la nutrition et l’activité physique. Des travaux expérimentaux ont mis en évidence le rôle prééminent de l’alimentation et du mode de vie sur la durée de vie. L’alimentation (quantité et qualité) a un rôle primordial. La fonction nutritive et l’exercice physique conditionnent l’équilibre métabolique et le rythme du vieillissement.
D’après Jonathan Swift « Tout le monde voudrait vivre longtemps mais personne ne voudrait être vieux »… Le vieillissement n’est pas une pathologie mais fait naître des besoins et des risques spécifiques et la prévention nutritionnelle est le moyen le plus accessible pour aider à bien vieillir. Le vieillissement est inéluctable, mais une prévention nutritionnelle bien conduite permet de retarder sarcopénie, ostéoporose, déclin cognitif, qui sont des obstacles à une bonne qualité de vie.
Même s’il est préférable d’adopter très tôt un mode de vie sain et de le conserver, il n’est jamais trop tard pour bien faire et des effets positifs de comportements alimentaires adoptés tardivement, ont été démontrés par le Professeur Monique Ferry.
Une politique du « bien vieillir » en France, accentuée par l’événement de la canicule d’août 2003 qui a tué 15 000 personnes âgées et a été le révélateur de carences dans la politique de santé, résulte donc tant de la prise de conscience individuelle que collective.
Il ne faut pourtant pas remettre en cause le maintien à domicile mais il faut trouver les moyens de réinsérer, dans la société, les isolés et fragiles. Il a donc été impératif de définir nationalement, une stratégie globale de prévention des personnes âgées vivant chez elles.
L’objectif le plus simple à fixer, est de maintenir la personne âgée à son domicile, par un accompagnement d’aidants familiaux et/ou institutionnels, dans le cadre auquel elle est habituée tout en aidant les familles qui les entourent.
Le deuxième objectif de santé publique, est de repenser les structures de soins et d’améliorer la formation de ceux qui y participent afin de mieux comprendre la place de la personne âgée dans la société et pourquoi on ne vieillit pas comme hier.
Repenser par des formations, un véritable savoir-faire des aidants et par là–même valoriser les professions des métiers de l’aide à domicile, reste une préoccupation principale pour les politiques des CRAM-SE.
Ainsi l’évolution de la prévention de la CRAM du Sud-Est, fait valoir son rôle de sensibilisation et de promotion de la santé vers le public cible que sont les personnes âgées.
La tranche d’âge des plus âgés augmente le plus vite. Les projections de population à l’horizon 2050 confirment en effet l’inéluctabilité du vieillissement de la population française puisque, à cette date, la France métropolitaine devrait compter trois fois plus de personnes âgées de plus de 75 ans et quatre fois plus de personnes de plus 85 ans.
En 2009, l’espérance de vie à la naissance en France reste l’une des plus élevée d’Europe (84,5 ans pour les femmes et 77,8 ans pour les hommes).
En dix ans les hommes ont gagné 3 ans et les femmes 2 ans, surtout grâce à l’allongement de la durée de vie et l’arrivée à l’âge de la retraite des « baby boomers » ayant succédé à la dernière guerre (1946-1950).
Ce paramètre constitue l’élément majeur des évolutions prévisibles de la morbidité.
La population des pays occidentaux est donc en train de vieillir. Or le rythme du vieillissement depuis deux siècles s’est ralenti, d’abord en Europe occidentale, puis dans le reste du monde quand l’amélioration de l’hygiène, de la médecine et de la nutrition ont atteint les autres continents. Par ailleurs, dans les pays occidentaux et en particulier en France, la baisse de la fécondité est à l’origine de la faible proportion de jeunes.
Les enjeux du vieillissement représentent donc un véritable défi. L’allongement de la durée de vie a profondément modifié les relations entre gens âgés et la société, celle-ci ayant anticipé très tard les conséquences à venir de ce phénomène. Dans notre société ou l’individualisme règne, les personnes âgées sont quasi marginalisées, victimes d’un racisme anti-vieux. Mais cette tranche de population nécessite et mobilise de plus en plus de professionnels pour des soins techniques et relationnels qui font appel à des compétences professionnelles en évolution nécessitant des formations adaptées.
Les personnes du troisième âge rencontrent des problèmes de santé liés à la sédentarité, l’isolement et au manque d’activité physique. Elles souffrent également d’une alimentation déséquilibrée voire insuffisante. Souvent on se nourrit de plus en plus mal avec l’âge. Chez certains le plaisir de manger s’émousse et l’inquiétude latente conduit à des régimes aberrants ou des évitements. Or il faut biens se nourrir pour éviter les carences qui sont aussi dangereuses que les excès caloriques. Il est donc clair que cette population âgée nécessite un accompagnement surtout quand elle se retrouve seule à son domicile.
Les relations indissociables entre nutrition, processus du vieillissement et pathologies du sujet âgé incitent en conséquence à envisager la prévention par la nutrition et l’activité physique. Des travaux expérimentaux ont mis en évidence le rôle prééminent de l’alimentation et du mode de vie sur la durée de vie. L’alimentation (quantité et qualité) a un rôle primordial. La fonction nutritive et l’exercice physique conditionnent l’équilibre métabolique et le rythme du vieillissement.
D’après Jonathan Swift « Tout le monde voudrait vivre longtemps mais personne ne voudrait être vieux »… Le vieillissement n’est pas une pathologie mais fait naître des besoins et des risques spécifiques et la prévention nutritionnelle est le moyen le plus accessible pour aider à bien vieillir. Le vieillissement est inéluctable, mais une prévention nutritionnelle bien conduite permet de retarder sarcopénie, ostéoporose, déclin cognitif, qui sont des obstacles à une bonne qualité de vie.
Même s’il est préférable d’adopter très tôt un mode de vie sain et de le conserver, il n’est jamais trop tard pour bien faire et des effets positifs de comportements alimentaires adoptés tardivement, ont été démontrés par le Professeur Monique Ferry.
Une politique du « bien vieillir » en France, accentuée par l’événement de la canicule d’août 2003 qui a tué 15 000 personnes âgées et a été le révélateur de carences dans la politique de santé, résulte donc tant de la prise de conscience individuelle que collective.
Il ne faut pourtant pas remettre en cause le maintien à domicile mais il faut trouver les moyens de réinsérer, dans la société, les isolés et fragiles. Il a donc été impératif de définir nationalement, une stratégie globale de prévention des personnes âgées vivant chez elles.
L’objectif le plus simple à fixer, est de maintenir la personne âgée à son domicile, par un accompagnement d’aidants familiaux et/ou institutionnels, dans le cadre auquel elle est habituée tout en aidant les familles qui les entourent.
Le deuxième objectif de santé publique, est de repenser les structures de soins et d’améliorer la formation de ceux qui y participent afin de mieux comprendre la place de la personne âgée dans la société et pourquoi on ne vieillit pas comme hier.
Repenser par des formations, un véritable savoir-faire des aidants et par là–même valoriser les professions des métiers de l’aide à domicile, reste une préoccupation principale pour les politiques des CRAM-SE.
Ainsi l’évolution de la prévention de la CRAM du Sud-Est, fait valoir son rôle de sensibilisation et de promotion de la santé vers le public cible que sont les personnes âgées.
Objectif de l'action
* Objectif général
- Développer une formation de relais de prévention de proximité sur l’alimentation des personnes âgées vivant à leur domicile ou en EHPAD et sur la promotion de l’activité physique
* Objectifs opérationnels
- Sensibiliser les aidants en faveur d’action de prévention
- Favoriser la reconnaissance des professions de l’aide à la personne
- Faciliter les échanges et le partage d’expériences inter et intra professionnelles des métiers de l’aide à la personne
- Positionner les formations « Savoir Seniors Santé » dans le champ de la prévention santé
- Favoriser le bien-être et le maintien à domicile des personnes âgées en accompagnant les participants à apporter des messages de prévention
- Responsabiliser la personne âgée dans la mesure du possible
- Développer une formation de relais de prévention de proximité sur l’alimentation des personnes âgées vivant à leur domicile ou en EHPAD et sur la promotion de l’activité physique
* Objectifs opérationnels
- Sensibiliser les aidants en faveur d’action de prévention
- Favoriser la reconnaissance des professions de l’aide à la personne
- Faciliter les échanges et le partage d’expériences inter et intra professionnelles des métiers de l’aide à la personne
- Positionner les formations « Savoir Seniors Santé » dans le champ de la prévention santé
- Favoriser le bien-être et le maintien à domicile des personnes âgées en accompagnant les participants à apporter des messages de prévention
- Responsabiliser la personne âgée dans la mesure du possible
Description
* Savoir Seniors Santé se compose de 2 journées et demi de formation et une demi journée de suivi (2 à 3 mois après), pour un groupe de 10 à 15 personnes :
- 1,5 jour de sensibilisation
. A la nutrition adaptée à la personne âgée
. Aux conséquences du vieillissement
. Aux pathologies des personnes âgées
. A la relation d’aide auprès des personnes âgées
. Aux ressources de l’aidant
- 0,5 jour sur le rôle préventif de l’activité physique chez la personne âgée à domicile
- 0,5 jour de bilan ou de suivi 2 à 3 mois après
. Échanges avec les participants pour connaître leurs éventuelles difficultés
. Tentatives de remédier aux difficultés
. Évaluation de l’impact de la formation sur les pratiques quotidiennes
* Les séances d’informations se font autour de deux professionnels spécialistes
- un chargé de projet en éducation pour la santé et diététicien (CoDES)
- un animateur sportif spécialisée pour les problématiques du vieillissement (FFEPGV)
Ces interventions sont composées de données théoriques, exercices ludiques, conseils et mises en situation. Les coordonnateurs CRAM recueillent les questionnaires d’évaluation remplis par les aides à domicile.
- 1,5 jour de sensibilisation
. A la nutrition adaptée à la personne âgée
. Aux conséquences du vieillissement
. Aux pathologies des personnes âgées
. A la relation d’aide auprès des personnes âgées
. Aux ressources de l’aidant
- 0,5 jour sur le rôle préventif de l’activité physique chez la personne âgée à domicile
- 0,5 jour de bilan ou de suivi 2 à 3 mois après
. Échanges avec les participants pour connaître leurs éventuelles difficultés
. Tentatives de remédier aux difficultés
. Évaluation de l’impact de la formation sur les pratiques quotidiennes
* Les séances d’informations se font autour de deux professionnels spécialistes
- un chargé de projet en éducation pour la santé et diététicien (CoDES)
- un animateur sportif spécialisée pour les problématiques du vieillissement (FFEPGV)
Ces interventions sont composées de données théoriques, exercices ludiques, conseils et mises en situation. Les coordonnateurs CRAM recueillent les questionnaires d’évaluation remplis par les aides à domicile.
Partenaire de l'action
CoDES, CCAS, EHPAD, Comités Régionaux d’Education Physique et de Gymnastique Volontaire Côte d’Azur et Provence Alpes du Sud (FFEPGV)
Année de début de réalisation
2011
Année de fin de réalisation
2011
Durée
12 mois
Fréquence
Répétitive
Public
Personnes de plus de 55 ans, Professionnels de santé, Professionnels du social, Autre profession, Aidants
Nombre de personnes concernées
177 personnes
Type d'action
Communication, information, sensibilisation, Education pour la santé, Formation
Outils et supports créés :
Document de présentation de la formation, Document récapitulatif de ½ journée consacrée à l’activité physique
Outils et supports utilisés :
Varient suivant les CoDES
Financeur
- Assurance Maladie
- - Régime général : Caisse Nationale de l'Assurance Vieillesse : Fond National d’Action Sanitaire et Sociale en faveur des Personnes Agées : 31 760 € €
Evaluation de l'action
* Indicateurs quantitatifs
- 177 aides à domicile formées
- Taux de participation : 89%
* Indicateurs qualitatifs
- Satisfaction concernant le module Alimentation
. 90% des participants sont satisfaits de la pédagogie utilisée par l’intervenant du CoDES
. 87% des participants sont satisfaits de la qualité d’écoute et de la disponibilité du formateur
. 80% des participants sont satisfaits des contenus abordés par le formateur
. 73% des participants sont satisfaits des documents remis
. 70% des participants sont satisfaits de leur acquisition de connaissance
- Satisfaction concernant le module Activité Physique
. 80 % des participants sont satisfaits de la pédagogie utilisée par l’intervenant du COREG EPGV
. 95% des participants sont satisfaits de la qualité d’écoute et de la disponibilité du formateur
. 80% des participants sont satisfaits des contenus abordés par le formateur
. 35% sont satisfaits du temps dédié à ce thème
. 87% des participants sont satisfaits des documents remis
. 98% des participants sont satisfaits de leur acquisition de connaissance
- Satisfaction concernant la formation dans son ensemble
. La formation a répondu aux attentes de 80,9% des participants
. 70% des participants sont satisfaits du rythme de la formation
. 80% des participants sont satisfaits des conditions d’accueil
. 75% des participants sont satisfaits des échanges et de la dynamique de groupe
- 177 aides à domicile formées
- Taux de participation : 89%
* Indicateurs qualitatifs
- Satisfaction concernant le module Alimentation
. 90% des participants sont satisfaits de la pédagogie utilisée par l’intervenant du CoDES
. 87% des participants sont satisfaits de la qualité d’écoute et de la disponibilité du formateur
. 80% des participants sont satisfaits des contenus abordés par le formateur
. 73% des participants sont satisfaits des documents remis
. 70% des participants sont satisfaits de leur acquisition de connaissance
- Satisfaction concernant le module Activité Physique
. 80 % des participants sont satisfaits de la pédagogie utilisée par l’intervenant du COREG EPGV
. 95% des participants sont satisfaits de la qualité d’écoute et de la disponibilité du formateur
. 80% des participants sont satisfaits des contenus abordés par le formateur
. 35% sont satisfaits du temps dédié à ce thème
. 87% des participants sont satisfaits des documents remis
. 98% des participants sont satisfaits de leur acquisition de connaissance
- Satisfaction concernant la formation dans son ensemble
. La formation a répondu aux attentes de 80,9% des participants
. 70% des participants sont satisfaits du rythme de la formation
. 80% des participants sont satisfaits des conditions d’accueil
. 75% des participants sont satisfaits des échanges et de la dynamique de groupe
Secteur d'activité
Centre de soins, établissement de santé, Etablissement et service médico-sociaux pour personnes âgées
Lieu d'intervention
CCAS, EHPAD
Niveau géographique
Régional
Commune
Embrun, Barcelonnette, Bollène, Carpentras, Menton, Cavaillon, Nice, Le Cannet, Istres, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Port-de-Bouc, Martigues, Marseille
Niveau départemental
Alpes-de-Haute-Provence, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var, Vaucluse
Niveau territorial de santé
Marseille, Martigues, Cavaillon, Orange-Valréas, Carpentras, Brignoles, Cannes-Grasse, Menton, Nice, Embrun
Plan national
VIEILLISSEMENT - Plan national Bien Vieillir (2007-2009), NUTRITION - Programme national nutrition santé (2006-2010), OBESITE - Plan Obésité
Catégorisation
A1
Développement d'offres de promotion de la santé
Développement d'offres de promotion de la santé
A2
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
A3
Mobilisation sociale
Mobilisation sociale
A4
Développement de compétences personnelles
Développement de compétences personnelles
B1
Offres en matière de promotion de la santé
Offres en matière de promotion de la santé
B2
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
B3
Potentiel social et engagement favorables à la santé
Potentiel social et engagement favorables à la santé
B4
Compétences individuelles favorables à la santé
Compétences individuelles favorables à la santé
C1
Environnement physique favorable à la santé
Environnement physique favorable à la santé
C2
Environnement social favorable à la santé
Environnement social favorable à la santé
C3
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
D
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Observation
Suite à l’évaluation nous avons décidé d’augmenter le temps de formation concernant l’activité physique. Ainsi en 2011, la durée du module activité passera d’une demi-journée à un jour complet.