Prévention sur les lieux de rencontres extérieurs(LRE) fréquentés par des Hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes (HSH) et dépistage "hors les murs"
2011
Action chaînée avec : Prévention sur les lieux de rencontre extérieurs gays - 2010
Thème
Sexualité (contraception, IVG), VIH-Sida IST
Programmes
-
Programme 01 : Permettre à chaque personne d'être acteur de sa santé en mobilisant ses ressources personnelles
-
Programme 03 : Cibler les actions de prévention sur les priorités régionales en agissant auprès des populations à des périodes sensibles de leur vie
Contexte
Une étude réalisée en 2007 par la Délégation de SIS Association à Nantes démontrait clairement que les LRE destinés à trouver des partenaires sexuels étaient propices à des prises de risques sexuels. Cette étude confirmait également le déficit important d'actions sur ces terrains.
Ainsi que le fait que ce public fréquentait peu les lieux commerciaux et n'etait donc pas coutumier des messages de prévention qui y sont transmis. Les prises de risques récurrentes relèvent ici plus d’un mal-être (volonté de se cacher du regard des autres, stigmatisation difficile à vivre, auto-homophobie, discriminations quotidiennes, déni, agressions verbales et physiques) que d’un manque d’informations, d'où l'intérêt d'une démarche de prévention originale. Enfin, l'incitation au dépistage va, ici, plutôt se concentrer sur la déconstruction des représentations du monde médico-social qui font obstacles à un accès aux soins adaptés aux prises de risques vécues.
Cette action qui s'inscrit dans le cadre d'objectifs nationaux de lutte contre le VIH ne doit pas être réduite à une simple action d'information des modes de transmission et des moyens de prévention.
En effet, on observe que ce n'est pas le manque de connaissances qui favorise les prises de risques sexuels. Le relatif isolement social ou psychologique des personnes rencontrées peut être un facteur à ne pas négliger. Il s'agit de personnes doublement stigmatisées, de par leur orientation sexuelle d'une part, mais aussi de par leur fréquentation du lieu. Ainsi, les personnes fréquentant les LRE le font souvent de manière cachée avec un fort sentiment de culpabilité qui peut les conduire à "s'oublier" le temps d'une pause, à ne pas penser aux conséquences de leurs actes, parfois risqués à la fois pour les autres et pour elles-mêmes.
Ainsi que le fait que ce public fréquentait peu les lieux commerciaux et n'etait donc pas coutumier des messages de prévention qui y sont transmis. Les prises de risques récurrentes relèvent ici plus d’un mal-être (volonté de se cacher du regard des autres, stigmatisation difficile à vivre, auto-homophobie, discriminations quotidiennes, déni, agressions verbales et physiques) que d’un manque d’informations, d'où l'intérêt d'une démarche de prévention originale. Enfin, l'incitation au dépistage va, ici, plutôt se concentrer sur la déconstruction des représentations du monde médico-social qui font obstacles à un accès aux soins adaptés aux prises de risques vécues.
Cette action qui s'inscrit dans le cadre d'objectifs nationaux de lutte contre le VIH ne doit pas être réduite à une simple action d'information des modes de transmission et des moyens de prévention.
En effet, on observe que ce n'est pas le manque de connaissances qui favorise les prises de risques sexuels. Le relatif isolement social ou psychologique des personnes rencontrées peut être un facteur à ne pas négliger. Il s'agit de personnes doublement stigmatisées, de par leur orientation sexuelle d'une part, mais aussi de par leur fréquentation du lieu. Ainsi, les personnes fréquentant les LRE le font souvent de manière cachée avec un fort sentiment de culpabilité qui peut les conduire à "s'oublier" le temps d'une pause, à ne pas penser aux conséquences de leurs actes, parfois risqués à la fois pour les autres et pour elles-mêmes.
Objectif de l'action
* Objectifs généraux :
- Favoriser la prise en compte des questions de santé sexuelle chez les populations HSH fréquentant les LRE de l'agglomération nantaise
* Objectifs spécifiques :
- Aller vers les populations HSH dans une démarche de prévention selon la méthodologie du "care"
- Impulser une réflexion sur la santé sexuelle avec les populations HSH de nature à les rendre acteurs de leur bien-être
- Mobiliser un réseau de partenaires autour de la santé sexuelle des HSH fréquentant les LRE.
Objectifs opérationnels :
- Garantir la régularité de l’action
- Permettre l’accès et le recours régulier au dépistage en concourant à l’élargissement de l’offre de dépistage
- Prendre en compte la santé mentale des personnes rencontrées qui impacte sur les prises de risques sexuels.
- Favoriser la prise en compte des questions de santé sexuelle chez les populations HSH fréquentant les LRE de l'agglomération nantaise
* Objectifs spécifiques :
- Aller vers les populations HSH dans une démarche de prévention selon la méthodologie du "care"
- Impulser une réflexion sur la santé sexuelle avec les populations HSH de nature à les rendre acteurs de leur bien-être
- Mobiliser un réseau de partenaires autour de la santé sexuelle des HSH fréquentant les LRE.
Objectifs opérationnels :
- Garantir la régularité de l’action
- Permettre l’accès et le recours régulier au dépistage en concourant à l’élargissement de l’offre de dépistage
- Prendre en compte la santé mentale des personnes rencontrées qui impacte sur les prises de risques sexuels.
Description
Les entretiens de prévention sont menés selon les méthodologies du "aller vers " et du "care" permettant l'établissement d'un climat de confiance par la prise en compte de la personne dans sa globalité. Les questions de santé sexuelle sont abordées dans un second temps.
La complexité des missions remplies par la salariée impose qu'elle soit accompagnée. Ces sorties se sont donc déroulées systématiquement en binôme.
Dans le cadre du développement d'un projet LRE à la Délégation SIS Nord-Pas-de-Calais, l'appui de l'Observatoire de SIS Association pour la construction des outils communs d'intervention et d'évaluation s'est avéré indispensable.
Le travail de réseau a été essentiel pour répondre au mieux aux objectifs de l'action. Il a prit une part importante de l'activité de la chargée de prévention.
En 2011, une quarantaine de journées a été nécessaire pour mener l’ensemble des échanges avec le public. En moyenne, 2h10 sont nécessaires à l’action entière [min. 50 min ; max. 3h30] comprenant le déplacement, l’installation sur le site et la durée des entretiens. Le temps de présence sur les lieux est évaluée à 1h40 [min. 30 min ; max. 3h].
Douze personnes sont présentes en moyenne sur les LRE au moment des actions mais les taux d’affluence varient de 2 à 30, selon la date et le site. Ainsi le site de la Gournerie semble accueillir un public plus nombreux que les trois autres LRE (en moyenne 13 contre 9 personnes).
Au cours d’une action, les intervenants de prévention ont approché trois personnes en moyenne [min. 0 ; max. 6]. Le taux de refus d’échanges semble relativement bas, de 0,5. Ainsi 2,8 entretiens sont menés à chaque déplacement en moyenne. Sept échanges sur dix se déroulent entre 16h30 et 18h30 (69 %), avec deux pics, l’un à 17h et l’autre à 18h.
Le froid et la pluie sont des variables extérieures complexifiant le contact avec les personnes qui restent enfermées dans leur voiture.
La complexité des missions remplies par la salariée impose qu'elle soit accompagnée. Ces sorties se sont donc déroulées systématiquement en binôme.
Dans le cadre du développement d'un projet LRE à la Délégation SIS Nord-Pas-de-Calais, l'appui de l'Observatoire de SIS Association pour la construction des outils communs d'intervention et d'évaluation s'est avéré indispensable.
Le travail de réseau a été essentiel pour répondre au mieux aux objectifs de l'action. Il a prit une part importante de l'activité de la chargée de prévention.
En 2011, une quarantaine de journées a été nécessaire pour mener l’ensemble des échanges avec le public. En moyenne, 2h10 sont nécessaires à l’action entière [min. 50 min ; max. 3h30] comprenant le déplacement, l’installation sur le site et la durée des entretiens. Le temps de présence sur les lieux est évaluée à 1h40 [min. 30 min ; max. 3h].
Douze personnes sont présentes en moyenne sur les LRE au moment des actions mais les taux d’affluence varient de 2 à 30, selon la date et le site. Ainsi le site de la Gournerie semble accueillir un public plus nombreux que les trois autres LRE (en moyenne 13 contre 9 personnes).
Au cours d’une action, les intervenants de prévention ont approché trois personnes en moyenne [min. 0 ; max. 6]. Le taux de refus d’échanges semble relativement bas, de 0,5. Ainsi 2,8 entretiens sont menés à chaque déplacement en moyenne. Sept échanges sur dix se déroulent entre 16h30 et 18h30 (69 %), avec deux pics, l’un à 17h et l’autre à 18h.
Le froid et la pluie sont des variables extérieures complexifiant le contact avec les personnes qui restent enfermées dans leur voiture.
Partenaire de l'action
CLGBT
Collectif santé gay ( CLGBT, AIDES, SNEG)
REVIH-HEP Nantes
CDAG
COREVIH
DUREX
INPES, SIDACTION et Ville de Nantes
Collectif santé gay ( CLGBT, AIDES, SNEG)
REVIH-HEP Nantes
CDAG
COREVIH
DUREX
INPES, SIDACTION et Ville de Nantes
Année de début de réalisation
2011
Année de fin de réalisation
2011
Durée
12 mois
Fréquence
Répétitive
Public
Adultes 18-55 ans, Personnes de plus de 55 ans, Homosexuels, Hommes
Nombre de personnes concernées
184 personnes
Type d'action
Communication, information, sensibilisation, Consultation de dépistage, Accueil, écoute, orientation
Outils et supports créés :
Le développement d'un projet LRE à la Délégation SIS Nord-Pas-de-Calais a été l'occasion de réinterroger ces outils en cours d’année afin d'optimiser leur utilisation. De nouveaux outils ont donc émergé et seront utilisés dès le début de l’année 2012 : - La fiche descriptive des LRE, permet de caractériser les particularités des lieux d’intervention (accessibilité, fréquentation…) afin d’apporter des éléments de comparaison et éventuellement de mettre en relation ces particularités avec le nombre d’entretiens réalisés et le contenu des entretiens sur un lieu défini. Elle est constituée suite à la découverte d’un nouveau lieu, puis complétée lorsque des évolutions sont observées. -La fiche sortie permet d’évaluer l’action sur le plan quantitatif (nombre d’entretiens, horaires de sortie, nombre d’intervenants, durée de l’action…). Elle sera remplie lors de chaque sortie sur un lieu. -La fiche d’évaluation des entretiens permet une évaluation de l’action sur le plan qualitatif (thématiques abordées, tranche d'âge, critères psychosociaux, niveau de protection des pratiques, diffusion de matériel de prévention…). Cette fiche sera complétée pour chaque entretien réalisé. -La fiche d’évaluation partenariale permet d’évaluer la mobilisation du réseau de partenaire à travers 3 items : mobilisation des professionnels ressource, mutualisation des compétences et échanges de pratiques professionnelles/ sensibilisation de professionnels/ communication sur le projet. Elle sera complétée lors de chaque rencontre avec le réseau de partenaire. Il est à noter que cette création de nouveaux outils a pris une part importante dans l’activité de la chargée de mission en 2011.
Outils et supports utilisés :
En 2011, les outils suivants ont été utilisés : - la trame d'entretien semi-directive qui permet de rendre l'entretien plus cohérent. Elle fixait les contours et les limites de l'échange et facilitait la conduite d'entretien à 2 voix. - le guide d’entretien : ce carnet permettait l'évaluation quantitative et qualitative de chaque intervention et de chaque entretien (nombre de contacts, nombre d'entretiens, thématiques abordées, tranche d'âge, critères psychosociaux, niveau de protection des pratiques, diffusion de matériel de prévention) - le tableau d'activités de la Délégation permettait de répertorier tout ce qui ressortait de la qualité de la planification des sorties et du travail de réseau (nombre de réunions et typologie des groupes de travail, temps d'échanges de pratiques professionnelles). Concernant le matériel utilisé, il s’agit essentiellement de kits associant dosettes de gel lubrifiant et préservatifs, et de cartes mémo et brochures variées afin d’orienter le public soit vers des ressources nationales (dispositifs téléphoniques d’écoute et d’aide à distance de SIS), soit vers des structures locales (CLGBT, CDAG, AIDES…).
Communication et valorisation de l'action
Les outils de communication habituels de la Délégation font le point régulièrement sur les évolutions de ce projet : petit journal de la Délégation, bilan d'activités de la Délégation, site internet, page Facebook…
La participation de la salariée à des instances et conférences locales permet également de répondre à cet objectif.
Un travail de communication via des sites internet et forum locaux permet d’informer de la présence de la salariée sur les lieux.
La participation de la salariée à des instances et conférences locales permet également de répondre à cet objectif.
Un travail de communication via des sites internet et forum locaux permet d’informer de la présence de la salariée sur les lieux.
Financeur
- ARS : 7 140 € €
- Collectivités territoriales : Ville de Nantes : 1 103 € €
- Etat : INPES : 1 290 € €
- Autre : Organisme sociaux - sidaction : 14 000 € ; CNASEA - emplois aidés : 336 € €
Evaluation de l'action
* Indicateurs quantitatifs :
- 84 entretiens avec une moyenne de 2,2 entretiens par action (minimum 1 ; maximum 7). A ces entretiens s’ajoutent une centaines d’autres réalisés lors de la marche des fiertés.
- En 2011, une réunion avec le CDAG a permis de mettre en place 3 actions de dépistage ciblé à l’aide des Test de Dépistage Rapides d’Orientation Diagnostic.
- Les personnes rencontrées sur ces LRE sont exclusivement des hommes. Trois sur cinq sont âgés d’au moins 40 ans (63,3 %) et un quart d’au moins 50 ans (24,1 %).
Parmi les hommes rencontrés 80 % se définissent selon une orientation sexuelle précise : 62,5 % indiquent être homosexuels et 10,7 % bisexuels. Plus d’un quart précisent être hétérosexuels (26,8 %).
* Indicateurs qualitatifs :
- Au cours des échanges, seulement sept hommes disent avoir des difficultés autour de leur orientation sexuelle.
- Atouts observés :
- Le projet de prévention HSH sur les LRE, tel qu’il est envisagé et mené sur le terrain, s’appui sur une prise en compte globale des personnes rencontrées. Cette prise en compte globale inclue des facteurs psycho-sociaux qui ne peuvent être dissociés de la santé.
- Le travail en partenariat est une des clefs de voute du projet, car il permet à l’intervenant à la fois de comprendre les problématiques rencontrées mais aussi d’orienter au mieux le public. Ce partenariat s’est renforcé avec les associations œuvrant dans le champ de la santé des HSH à travers la création puis la consolidation d’un collectif santé gay réunissant Aides, le CLGBT, le SNEG et SIS.
Le travail en partenariat s’est également consolidé avec Aides et le CDAG afin de pouvoir proposer des Tests de Dépistage Rapides sur les LRE.
Difficultés rencontrées :
- Pour garantir la qualité de l’exercice de la mission, l’intervention en binôme nécessite une grande organisation et une planification des sorties à l’avance. Le binôme apparaît cependant comme une condition incontournable pour garantir un climat de sérénité nécessaire à l’écoute des personnes rencontrées.
- Le déboisement progressif de certains lieux et les nombreuses agressions homophobes constatées favorisent un climat de méfiance qui se répercute sur l’action et qui a un impact sur la santé sexuelle.
- Favoriser l’accès au dépistage nécessite notamment une grande disponibilité du CDAG et des associations habilités pour le TROD, facteur qui ne dépend pas de l’intervenant.
- 84 entretiens avec une moyenne de 2,2 entretiens par action (minimum 1 ; maximum 7). A ces entretiens s’ajoutent une centaines d’autres réalisés lors de la marche des fiertés.
- En 2011, une réunion avec le CDAG a permis de mettre en place 3 actions de dépistage ciblé à l’aide des Test de Dépistage Rapides d’Orientation Diagnostic.
- Les personnes rencontrées sur ces LRE sont exclusivement des hommes. Trois sur cinq sont âgés d’au moins 40 ans (63,3 %) et un quart d’au moins 50 ans (24,1 %).
Parmi les hommes rencontrés 80 % se définissent selon une orientation sexuelle précise : 62,5 % indiquent être homosexuels et 10,7 % bisexuels. Plus d’un quart précisent être hétérosexuels (26,8 %).
* Indicateurs qualitatifs :
- Au cours des échanges, seulement sept hommes disent avoir des difficultés autour de leur orientation sexuelle.
- Atouts observés :
- Le projet de prévention HSH sur les LRE, tel qu’il est envisagé et mené sur le terrain, s’appui sur une prise en compte globale des personnes rencontrées. Cette prise en compte globale inclue des facteurs psycho-sociaux qui ne peuvent être dissociés de la santé.
- Le travail en partenariat est une des clefs de voute du projet, car il permet à l’intervenant à la fois de comprendre les problématiques rencontrées mais aussi d’orienter au mieux le public. Ce partenariat s’est renforcé avec les associations œuvrant dans le champ de la santé des HSH à travers la création puis la consolidation d’un collectif santé gay réunissant Aides, le CLGBT, le SNEG et SIS.
Le travail en partenariat s’est également consolidé avec Aides et le CDAG afin de pouvoir proposer des Tests de Dépistage Rapides sur les LRE.
Difficultés rencontrées :
- Pour garantir la qualité de l’exercice de la mission, l’intervention en binôme nécessite une grande organisation et une planification des sorties à l’avance. Le binôme apparaît cependant comme une condition incontournable pour garantir un climat de sérénité nécessaire à l’écoute des personnes rencontrées.
- Le déboisement progressif de certains lieux et les nombreuses agressions homophobes constatées favorisent un climat de méfiance qui se répercute sur l’action et qui a un impact sur la santé sexuelle.
- Favoriser l’accès au dépistage nécessite notamment une grande disponibilité du CDAG et des associations habilités pour le TROD, facteur qui ne dépend pas de l’intervenant.
Lieu d'intervention
- à Nantes : Baco et Facultés
- à Saint Herblain : Gournerie
- à Saint Herblain : Gournerie
Niveau géographique
Départemental, Territorial
Commune
Nantes, Saint-Herblain
Niveau départemental
Loire-Atlantique
Niveau EPCI
Nantes Métropole
Plan national
VIH/SIDA/IST - Plan national de lutte contre le VIH/SIDA et les IST (2010 - 2014)
Action(s) lolf
PSS 13. Prévention des risques infectieux et des risques liés aux soins, PSS 13.1 VIH / SIDA / IST / Hépatites
Catégorisation
A1
Développement d'offres de promotion de la santé
Développement d'offres de promotion de la santé
A2
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
A3
Mobilisation sociale
Mobilisation sociale
A4
Développement de compétences personnelles
Développement de compétences personnelles
B1
Offres en matière de promotion de la santé
Offres en matière de promotion de la santé
B2
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
B3
Potentiel social et engagement favorables à la santé
Potentiel social et engagement favorables à la santé
B4
Compétences individuelles favorables à la santé
Compétences individuelles favorables à la santé
C1
Environnement physique favorable à la santé
Environnement physique favorable à la santé
C2
Environnement social favorable à la santé
Environnement social favorable à la santé
C3
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
D
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)