Savoir Seniors Santé - 7. Troubles Mentaux
2013
Porteur de l'action : Caisse d'Assurance Retraite et de la Santé Au Travail du Sud-Est (CARSAT-Sud Est), Assurance Maladie
35 rue George Cedex 20, Marseille
08 21 10 13 13
Thème
Santé mentale, Vieillissement
Contexte
L’Organisation des Nations Unies estime que le nombre d’individus âgés de 65 ans et plus devrait atteindre 825 millions dans le monde en 2025, comparativement à 315 millions en 1987.
Les projections de population de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) confirment l’inéluctabilité du vieillissement de la population française puisque qu’à l’horizon 2050 la France métropolitaine devrait compter trois fois plus de personnes âgées de plus de 75 ans et quatre fois plus de personnes de plus de 85 ans. L’INSEE nous informe également qu’en 2013, l’espérance de vie à la naissance en France reste l’une des plus élevée d’Europe (85 ans pour les femmes et 78,7 ans pour les hommes). En dix ans les hommes ont gagné presque 3 ans et les femmes presque 2 ans, surtout grâce à l’allongement de la durée de vie et l’arrivée en l’âge de la retraite des « baby boomers » ayant succédé à la dernière Guerre. Au début du siècle, quatre français sur dix atteignaient 65 ans ; c’est aujourd’hui le cas de quatre français sur cinq. Atteindre la vieillesse n’est donc plus un privilège.
Les conséquences sociales et économiques d’une telle transition démographique seront majeures, notamment en regard aux dépenses liées à la santé puisque l’augmentation de l’espérance de vie ne signifie malheureusement pas une augmentation de l’espérance de vie en bonne santé.
Il est actuellement largement reconnu que l’avancée en âge s’accompagne d’un déclin de la performance dans un grand nombre de tâches cognitives résultant de changements structurels dans le cerveau qui, à leur tour, vont avoir un impact sur le fonctionnement de l’individu. Toutefois, ces modifications ne sont pas similaires chez tout le monde et il existe de nombreux exemples de personnes âgées qui maintiennent leur vitalité cognitive, même à des âges très avancés. Cette hétérogénéité est partiellement expliquée par des facteurs tels que le niveau d’éducation ou la pratique d’activités, professionnelles ou non .
Le fonctionnement cognitif désigne un ensemble d’habiletés mentales, comme la perception, l’attention, la concentration, la mémorisation et les fonctions intellectuelles de haut niveau, telles que la prise de décision et la résolution de problèmes. Toutes ces fonctions cognitives ne sont pas également affectées au cours du vieillissement. La communauté scientifique s’accorde généralement pour dire que les habiletés mentales qui s’appuient sur les connaissances générales acquises au fil des années semblent relativement maintenues. Par contre, les habiletés mentales qui s’appuient davantage sur des processus cognitifs (mémoire, attention, vitesse de traitement) sont fortement touchées et de façon plus précoce.
Plusieurs études suggèrent qu’il existe des facteurs qui agissent en tant que modulateurs du vieillissement cognitif. Dans cette optique, plusieurs plans d’actions ont été entrepris par les différents gouvernements français :
les Plans Nationaux Nutrition Santé 1, 2 et 3 (PNNS) ont pour objectifs de faire évoluer les comportements et de permettre aux retraités de lutter contre la dénutrition, le manque d’activité physique et d’être acteurs de leur santé.
les plans nationaux « Bien Vieillir » souhaitent poser les étapes d’un chemin pour un vieillissement réussi.
la politique de santé publique et les contrats pluriannuels de gestion de la Sécurité Sociale aident à développer des projets d’éducation pour la santé permettant aux personnes âgées de préserver leur capital santé.
Les effets de la stimulation cognitive ne semblent pas seulement importants dans le domaine du vieillissement normal. Etre actif sur le plan cognitif pourrait également avoir un effet protecteur contre les maladies dégénératives associées au vieillissement. On note par exemple qu’un faible niveau d’éducation est associé à un plus haut risque de montrer des signes de déclin cognitif tels qu’observés dans la maladie d’Alzheimer . De plus, selon une étude américaine , la stimulation cognitive via la lecture et les jeux intellectuellement stimulants a été associée à un plus faible taux de démence de type Alzheimer et à une meilleure vitalité cognitive.
Les résultats des études d’entrainement cognitif ont montré trois types de résultats :
les ainés peuvent apprendre de nouvelles tâches ou développer de nouvelles habiletés cognitives au même rythme que les jeunes,
les ainés montrent un bénéfice réduit par rapport aux jeunes,
les ainés bénéficient davantage que les jeunes de l’entrainement.
Ainsi, dans les études d’entraînement en attention divisée , les aînés s’améliorent nettement plus que les jeunes adultes et cet apprentissage leur permet de mieux accomplir de nouvelles tâches d’attention divisée. Dans les études visant à améliorer la performance mnésique des ainés à l’aide de stratégies mnémotechniques , les ainés bénéficient nettement de ces stratégies, bien que l’amélioration soit parfois plus marquée chez les jeunes adultes. On apprend également que mieux informer les seniors sur leur potentiel risque de diminuer les croyances négatives quant à leurs pertes cognitives et que l’apprentissage de plusieurs stratégies mnémotechniques est souhaitable .
Une autre forme d’intervention qui semble prometteuse est l’entraînement physique (comme la marche) visant à améliorer les fonctions cardiorespiratoires. Les études épidémiologiques impliquant un grand nombre de participant montre souvent une relation statistique importante entre la condition physique des individus et leur vitalité sur le plan cognitif .
Aujourd’hui, les personnes âgées nécessitent et mobilisent de plus en plus de professionnels pour des soins techniques et relationnels qui font appel à des compétences professionnelles en évolution nécessitant des formations adaptées. Il ne faut pas remettre en cause le maintien à domicile mais il faut trouver les moyens de réinsérer dans la société les seniors isolés et fragiles. En effet, la problématique du maintien à domicile doit également prendre en compte le maintien du lien social.
L’Assurance Retraite, en partenariat avec la MSA et le RSI, mène ainsi une politique de la Promotion du Bien Vieillir. La politique d’action sociale de la Cnav s’inscrit dans une approche globale qui prend en compte l’ensemble des éléments favorables au Bien Vieillir afin de lutter contre les risques de fragilisation sociale et de perte d’autonomie. Ce savoir-faire résulte à la fois d’une orientation consécutive à la mise en place de l’Allocation Personnalisée d’Autonomie mais également d’une politique d’accompagnement des retraités dans leur avancée en âge en contribuant à l’amélioration de leur confort de vie. Cette volonté se traduit par la coordination des régimes de base et des régimes complémentaires. L’enjeu de cette association est de conduire une politique inter-régime en faveur du bien vieillir et de répondre au défi de la longévité en proposant une politique commune de prévention de la perte d’autonomie de chaque retraité quel que soit son régime de cotisation.
Les projections de population de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) confirment l’inéluctabilité du vieillissement de la population française puisque qu’à l’horizon 2050 la France métropolitaine devrait compter trois fois plus de personnes âgées de plus de 75 ans et quatre fois plus de personnes de plus de 85 ans. L’INSEE nous informe également qu’en 2013, l’espérance de vie à la naissance en France reste l’une des plus élevée d’Europe (85 ans pour les femmes et 78,7 ans pour les hommes). En dix ans les hommes ont gagné presque 3 ans et les femmes presque 2 ans, surtout grâce à l’allongement de la durée de vie et l’arrivée en l’âge de la retraite des « baby boomers » ayant succédé à la dernière Guerre. Au début du siècle, quatre français sur dix atteignaient 65 ans ; c’est aujourd’hui le cas de quatre français sur cinq. Atteindre la vieillesse n’est donc plus un privilège.
Les conséquences sociales et économiques d’une telle transition démographique seront majeures, notamment en regard aux dépenses liées à la santé puisque l’augmentation de l’espérance de vie ne signifie malheureusement pas une augmentation de l’espérance de vie en bonne santé.
Il est actuellement largement reconnu que l’avancée en âge s’accompagne d’un déclin de la performance dans un grand nombre de tâches cognitives résultant de changements structurels dans le cerveau qui, à leur tour, vont avoir un impact sur le fonctionnement de l’individu. Toutefois, ces modifications ne sont pas similaires chez tout le monde et il existe de nombreux exemples de personnes âgées qui maintiennent leur vitalité cognitive, même à des âges très avancés. Cette hétérogénéité est partiellement expliquée par des facteurs tels que le niveau d’éducation ou la pratique d’activités, professionnelles ou non .
Le fonctionnement cognitif désigne un ensemble d’habiletés mentales, comme la perception, l’attention, la concentration, la mémorisation et les fonctions intellectuelles de haut niveau, telles que la prise de décision et la résolution de problèmes. Toutes ces fonctions cognitives ne sont pas également affectées au cours du vieillissement. La communauté scientifique s’accorde généralement pour dire que les habiletés mentales qui s’appuient sur les connaissances générales acquises au fil des années semblent relativement maintenues. Par contre, les habiletés mentales qui s’appuient davantage sur des processus cognitifs (mémoire, attention, vitesse de traitement) sont fortement touchées et de façon plus précoce.
Plusieurs études suggèrent qu’il existe des facteurs qui agissent en tant que modulateurs du vieillissement cognitif. Dans cette optique, plusieurs plans d’actions ont été entrepris par les différents gouvernements français :
les Plans Nationaux Nutrition Santé 1, 2 et 3 (PNNS) ont pour objectifs de faire évoluer les comportements et de permettre aux retraités de lutter contre la dénutrition, le manque d’activité physique et d’être acteurs de leur santé.
les plans nationaux « Bien Vieillir » souhaitent poser les étapes d’un chemin pour un vieillissement réussi.
la politique de santé publique et les contrats pluriannuels de gestion de la Sécurité Sociale aident à développer des projets d’éducation pour la santé permettant aux personnes âgées de préserver leur capital santé.
Les effets de la stimulation cognitive ne semblent pas seulement importants dans le domaine du vieillissement normal. Etre actif sur le plan cognitif pourrait également avoir un effet protecteur contre les maladies dégénératives associées au vieillissement. On note par exemple qu’un faible niveau d’éducation est associé à un plus haut risque de montrer des signes de déclin cognitif tels qu’observés dans la maladie d’Alzheimer . De plus, selon une étude américaine , la stimulation cognitive via la lecture et les jeux intellectuellement stimulants a été associée à un plus faible taux de démence de type Alzheimer et à une meilleure vitalité cognitive.
Les résultats des études d’entrainement cognitif ont montré trois types de résultats :
les ainés peuvent apprendre de nouvelles tâches ou développer de nouvelles habiletés cognitives au même rythme que les jeunes,
les ainés montrent un bénéfice réduit par rapport aux jeunes,
les ainés bénéficient davantage que les jeunes de l’entrainement.
Ainsi, dans les études d’entraînement en attention divisée , les aînés s’améliorent nettement plus que les jeunes adultes et cet apprentissage leur permet de mieux accomplir de nouvelles tâches d’attention divisée. Dans les études visant à améliorer la performance mnésique des ainés à l’aide de stratégies mnémotechniques , les ainés bénéficient nettement de ces stratégies, bien que l’amélioration soit parfois plus marquée chez les jeunes adultes. On apprend également que mieux informer les seniors sur leur potentiel risque de diminuer les croyances négatives quant à leurs pertes cognitives et que l’apprentissage de plusieurs stratégies mnémotechniques est souhaitable .
Une autre forme d’intervention qui semble prometteuse est l’entraînement physique (comme la marche) visant à améliorer les fonctions cardiorespiratoires. Les études épidémiologiques impliquant un grand nombre de participant montre souvent une relation statistique importante entre la condition physique des individus et leur vitalité sur le plan cognitif .
Aujourd’hui, les personnes âgées nécessitent et mobilisent de plus en plus de professionnels pour des soins techniques et relationnels qui font appel à des compétences professionnelles en évolution nécessitant des formations adaptées. Il ne faut pas remettre en cause le maintien à domicile mais il faut trouver les moyens de réinsérer dans la société les seniors isolés et fragiles. En effet, la problématique du maintien à domicile doit également prendre en compte le maintien du lien social.
L’Assurance Retraite, en partenariat avec la MSA et le RSI, mène ainsi une politique de la Promotion du Bien Vieillir. La politique d’action sociale de la Cnav s’inscrit dans une approche globale qui prend en compte l’ensemble des éléments favorables au Bien Vieillir afin de lutter contre les risques de fragilisation sociale et de perte d’autonomie. Ce savoir-faire résulte à la fois d’une orientation consécutive à la mise en place de l’Allocation Personnalisée d’Autonomie mais également d’une politique d’accompagnement des retraités dans leur avancée en âge en contribuant à l’amélioration de leur confort de vie. Cette volonté se traduit par la coordination des régimes de base et des régimes complémentaires. L’enjeu de cette association est de conduire une politique inter-régime en faveur du bien vieillir et de répondre au défi de la longévité en proposant une politique commune de prévention de la perte d’autonomie de chaque retraité quel que soit son régime de cotisation.
Objectif de l'action
* Objectif général
- Favoriser le maintien de l’autonomie de la personne âgée
* Objectifs opérationnels
- Permettre aux personnes d'acquérir des informations concrètes concernant les différentes pathologies psychiatriques et leurs manifestations spécifiques
- Permettre aux personnes d’adopter des techniques et méthodes d’accompagnement spécifiques aux bénéficiaires atteints de troubles mentaux
- Favoriser le maintien de l’autonomie de la personne âgée
* Objectifs opérationnels
- Permettre aux personnes d'acquérir des informations concrètes concernant les différentes pathologies psychiatriques et leurs manifestations spécifiques
- Permettre aux personnes d’adopter des techniques et méthodes d’accompagnement spécifiques aux bénéficiaires atteints de troubles mentaux
Description
* Développement du module « Savoir Seniors Santé, module : Troubles Mentaux »
- 2 journées de formation plus une demi journée de suivi(2 à 3 mois après)
- Pour un groupe de 10 à 15 professionnels des métiers de l’aide à domicile
- Par des professionnels titulaires d’un master en psychologie cognitive ou neuropsychologie
- Ces interventions sont composées de données théoriques, d’exercices ludiques, de conseils et de mises en situation
* Le contenu
- Les troubles mentaux
. Généralités, définitions, diversités des troubles psychiatriques
. Les différentes pathologies psychiatriques et leurs manifestations
. Profil et caractéristiques du bénéficiaire atteint de troubles mentaux
- La violence dans le trouble mental
. Violence auto-agressive versus violence hétéro-agressive
. Les facteurs de risques de la violence
. Repérer les signes d’alerte du passage à l’acte violent
. Faire face aux situations de violence émergente : attitudes et comportements
- Accompagnement du bénéficiaire atteint de troubles mentaux
. Les conséquences de la prise de médicaments psychotropes
. Les critères pertinents à observer auprès d’un bénéficiaire atteint de troubles mentaux
. Nature des objectifs et outils à utiliser pour l’accompagnement d’un bénéficiaire atteint de troubles mentaux
- Transmissions et échanges professionnels
. Comme mesure de protections du bénéficiaire
. Comme mesure de protection de l’intervenant à domicile
. Travail en équipe pluridisciplinaire : la hiérarchie et les autres professionnels de l’accompagnement à domicile
. Rôle de l’entourage familial du bénéficiaire dans l’accompagnement
- Études de cas, conseils, propositions
. Réflexions et échanges autour d’exemples concrets
* La demi-journée de suivi
- Échanges avec les participants pour connaître leur(s) éventuelle(s) difficulté(s) et y remédier, reprendre certains points de la formation et connaître l’impact de la formation sur les pratiques professionnelles quotidiennes des stagiaires
- 2 journées de formation plus une demi journée de suivi(2 à 3 mois après)
- Pour un groupe de 10 à 15 professionnels des métiers de l’aide à domicile
- Par des professionnels titulaires d’un master en psychologie cognitive ou neuropsychologie
- Ces interventions sont composées de données théoriques, d’exercices ludiques, de conseils et de mises en situation
* Le contenu
- Les troubles mentaux
. Généralités, définitions, diversités des troubles psychiatriques
. Les différentes pathologies psychiatriques et leurs manifestations
. Profil et caractéristiques du bénéficiaire atteint de troubles mentaux
- La violence dans le trouble mental
. Violence auto-agressive versus violence hétéro-agressive
. Les facteurs de risques de la violence
. Repérer les signes d’alerte du passage à l’acte violent
. Faire face aux situations de violence émergente : attitudes et comportements
- Accompagnement du bénéficiaire atteint de troubles mentaux
. Les conséquences de la prise de médicaments psychotropes
. Les critères pertinents à observer auprès d’un bénéficiaire atteint de troubles mentaux
. Nature des objectifs et outils à utiliser pour l’accompagnement d’un bénéficiaire atteint de troubles mentaux
- Transmissions et échanges professionnels
. Comme mesure de protections du bénéficiaire
. Comme mesure de protection de l’intervenant à domicile
. Travail en équipe pluridisciplinaire : la hiérarchie et les autres professionnels de l’accompagnement à domicile
. Rôle de l’entourage familial du bénéficiaire dans l’accompagnement
- Études de cas, conseils, propositions
. Réflexions et échanges autour d’exemples concrets
* La demi-journée de suivi
- Échanges avec les participants pour connaître leur(s) éventuelle(s) difficulté(s) et y remédier, reprendre certains points de la formation et connaître l’impact de la formation sur les pratiques professionnelles quotidiennes des stagiaires
Partenaire de l'action
CCAS ; Associations d’aide à domicile ; MétaFor ; Gulliver
Année de début de réalisation
2013
Année de fin de réalisation
2013
Durée
12 mois
Fréquence
Répétitive
Public
Professionnels de santé, Professionnels du social, Autre profession, Aidants
Nombre de personnes concernées
100 personnes
Type d'action
Communication, information, sensibilisation, Education pour la santé, Formation
Outils et supports utilisés :
Documents propres aux formateurs
Financeur
- Assurance Maladie
- - Régime général : Caisse Nationale de l'Assurance Vieillesse, Fond National d’Action Sanitaire et Sociale en faveur des Personnes Agées : 9 200 € €
Evaluation de l'action
* Indicateurs quantitatifs
- Nombre de professionnels formés : 100
- 8 formations organisées
* Indicateurs qualitatifs
- Très forte satisfaction des participants à la formation sur les critères suivants :
. Rythme : 88%
. Temps de formation trop court
. Satisfaction globale : 98%
. Supports pédagogiques : 85%
. Contenus : 93%
. Pédagogie : 92%
. Qualité de l’animation : 98%
. Clarté des explications : 96%
. Disponibilité et écoute : 96%
- 11% des participants indiquent qu’ils réutiliseront les enseignements reçus au cours de la formation pour mieux « gérer les cas de violence et les situations agressives »
- 44% des répondants mentionnent qu’à l’issue de cette formation ils sauront : « agir et réagir ; adopter les bons comportements ; faire face aux troubles mentaux et améliorer l’approche de leurs bénéficiaires »
- 30% des participants indiquent « les pathologies » comme point fort de cette formation
- 14% mentionnent qu’ils seront « capables de reconnaître un bénéficiaire malade » en fin de formation
- Nombre de professionnels formés : 100
- 8 formations organisées
* Indicateurs qualitatifs
- Très forte satisfaction des participants à la formation sur les critères suivants :
. Rythme : 88%
. Temps de formation trop court
. Satisfaction globale : 98%
. Supports pédagogiques : 85%
. Contenus : 93%
. Pédagogie : 92%
. Qualité de l’animation : 98%
. Clarté des explications : 96%
. Disponibilité et écoute : 96%
- 11% des participants indiquent qu’ils réutiliseront les enseignements reçus au cours de la formation pour mieux « gérer les cas de violence et les situations agressives »
- 44% des répondants mentionnent qu’à l’issue de cette formation ils sauront : « agir et réagir ; adopter les bons comportements ; faire face aux troubles mentaux et améliorer l’approche de leurs bénéficiaires »
- 30% des participants indiquent « les pathologies » comme point fort de cette formation
- 14% mentionnent qu’ils seront « capables de reconnaître un bénéficiaire malade » en fin de formation
Secteur d'activité
A domicile, Centre communal d’action sociale, Local d’association
Lieu d'intervention
Centre Local d'Information et de Coordination (CLIC), CCAS, associations d’aide à domicile
Niveau géographique
Régional
Commune
Monteux, Manosque, Salon-de-Provence, Roquevaire, Toulon
Niveau départemental
Alpes-de-Haute-Provence, Bouches-du-Rhône, Var, Vaucluse
Niveau territorial de santé
Aubagne La Ciotat, Carpentras, Manosque, Toulon-Hyères, Salon-de-Provence
Plan national
GRAND AGE - Plan solidarité grand âge, TRAVAIL - Plan Santé au travail (2010-2014)
Catégorisation
A1
Développement d'offres de promotion de la santé
Développement d'offres de promotion de la santé
A2
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
A3
Mobilisation sociale
Mobilisation sociale
A4
Développement de compétences personnelles
Développement de compétences personnelles
B1
Offres en matière de promotion de la santé
Offres en matière de promotion de la santé
B2
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
B3
Potentiel social et engagement favorables à la santé
Potentiel social et engagement favorables à la santé
B4
Compétences individuelles favorables à la santé
Compétences individuelles favorables à la santé
C1
Environnement physique favorable à la santé
Environnement physique favorable à la santé
C2
Environnement social favorable à la santé
Environnement social favorable à la santé
C3
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
D
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Justification de l'action
Retour d’expérience significative
Type de porteur
Préventeur institutionnel
Type porteur précision
Département Accompagnement et Prévention - Direction de l'Accompagnement Social
Thèmes
Evaluation et prévention d’un risque professionnel spécifique, Maintien dans l’emploi
Risques professionnels spécifiques
Risques Psychosociaux
Populations visées par l’action au sein de l’entreprise
Salariés et agents publics
Populations visées par l'action Autre
Professionnels de l'aide à domicile
Bénéficiaires
Entreprises
Entreprises visées par l'action
Artisans et TPE (<10), PME (11-49 sal)
Secteurs d'activités
Santé humaine et action sociale